Se déplacer, à pieds.
Pas se promener, se déplacer.
Aller d’un point à un autre.
Pas une boucle.
Plus de voiture depuis des mois, pas de radio depuis des semaines, au comptoir du café je feuillette en souriant la presse locale et son chapelet de comptes rendus d’activité associative avant de retourner à mon bureau, je marche dans les flaques, je travaille, ou pas, et je me sens bien. L’état du monde est une question de point de vue.
Et ce jardin, merci encore pour les pivoines.